Aurions-Idernes

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Aurions-Idernes
Aurions-Idernes
Paysage dans les environs du village d'Aurions-Idernes
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes du Nord Est Béarn
Maire
Mandat
Benoît Monplaisir
2020-2026
Code postal 64350
Code commune 64079
Démographie
Gentilé Aurionais
Population
municipale
105 hab. (2021 en augmentation de 1,94 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 32′ 20″ nord, 0° 08′ 14″ ouest
Altitude Min. 136 m
Max. 284 m
Superficie 6,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Aurions-Idernes
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Aurions-Idernes
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Aurions-Idernes
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Aurions-Idernes

Aurions-Idernes (prononcé [oʁjɔ̃ idɛʁn]) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune d'Aurions-Idernes se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 43 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 39 km de Serres-Castet[3], bureau centralisateur du canton des Terres des Luys et Coteaux du Vic-Bilh dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lembeye[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Cadillon (1,9 km), Arrosès (2,2 km), Mont-Disse (2,4 km), Conchez-de-Béarn (2,6 km), Diusse (3,5 km), Saint-Jean-Poudge (4,0 km), Crouseilles (4,2 km), Aubous (4,3 km).

Sur le plan historique et culturel, Aurions-Idernes fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes d’Aurions-Idernes[6]
Mont-Disse
Cadillon Aurions-Idernes Arrosès
Arricau-Bordes Séméacq-Blachon Crouseilles
(sur 100 m)

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Aurions-Idernes.

La commune est drainée par le Larcis, le ruisseau de Libet, le ruisseau de Barsious et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le Larcis, d'une longueur totale de 34,8 km, prend sa source dans la commune de Luc-Armau, et s'écoule vers le nord-ouest. Il se jette dans le Léez à Projan, après avoir traversé 20 communes[8].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 044 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mont-Disse à 2 km à vol d'oiseau[12], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 010,8 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Aurions-Idernes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[19],[20],[21]. La commune est en outre hors attraction des villes[22],[23].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (83,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37 %), zones agricoles hétérogènes (31,9 %), cultures permanentes (16,8 %), forêts (14,3 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Elle est desservie par les routes départementales 205 et 219.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Aurions-Idernes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée)[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment le Larcis. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009[30],[28].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Aurions-Idernes.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[31]. 85,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[32].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2021[28].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Aurions apparaît sous les formes Ryons (1227[25], registres de Bordeaux[33]), Aurios (1385[25], censier de Béarn[34]), Riontz (1538[25], réformation de Béarn[35]), Aurious sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[36]) et Aurious (1801[37], Bulletin des lois).

Le toponyme Idernes apparaît sous les formes Ydernes (1385[25], censier de Béarn[34]), Ydernas (vers 1540[25], réformation de Béarn[35]) et Idernes sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[36].

Michel Grosclaude indique qu’Aurions provient du nom d’homme latin Aurius augmenté du suffixe -onis pour donner « domaine d’Aurius »[36]. En revanche l’origine du toponyme Idernes reste obscure[36]. Son nom béarnais est Aurions-Idèrnas[38] ou Aurioûs-Idèrnes[39].

L'Abbat et Les Barsious sont mentionnés dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[25] de 1863 et désignaient des landes. Scayahouet et Tambourret sont deux autres microtoponymes de la commune, désignant des champs au XXe siècle.

Cailhabet est une ancienne ferme citée par le dictionnaire de 1863[25].

Castéra était un écart d’Aurions-Idernes, mentionné dans le dictionnaire topographique de 1863[25], tout comme les Tapiotes.

Le toponyme Disse, ancien hameau des communes d'Aurions-Idernes et de Mont, apparaît sous les formes Düsse (1487[25], registre des Établissements de Béarn[40]), Dissa et Dyssa (respectivement 1538[25] et 1546[25], réformation de Béarn[35]).

L'Enclos est un ancien hameau de la commune, mentionné en 1863[25].

Serramone était un fief de la commune, vassal de la vicomté de Béarn. Il est mentionné en 1538[25] (Serramona) et 1675[25] (Sarramonne) dans les recueils de la réformation de Béarn[35], puis en 1780[25] (Sarramoune) dans le terrier d’Aurions[41].

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[25] note qu'en 1385, Aurions et Idernes dépendaient du bailliage de Lembeye et comptaient respectivement onze et trois feux.

Idernes s'est unie à Aurions en 1844. En 1846, la commune, jusque-là membre du canton de Garlin, est ajoutée au canton de Lembeye.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2008 André Lagrave    
2008 2020 Nadine Oulie DVG Sans profession
2020 En cours Benoit Monplaisir DVG  
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Aurions-Idernes fait partie de cinq structures intercommunales[42] :

  • la communauté de communes du canton de Lembeye en Vic-Bilh ;
  • le SIVU de la voirie du canton de Lembeye ;
  • le SIVU de regroupement pédagogique d'Aurions-Idernes, Arrosès, Séméacq-Blachon et Moncaup ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable (SIAEP) du Vic-Bilh Montanérès.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Le nom des habitants est Aurionais[43].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[45].

En 2021, la commune comptait 105 habitants[Note 5], en augmentation de 1,94 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
204239251205275302432451407
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
406391343331306286284262273
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
236223228191201191189175175
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
169174144157141117114113104
2017 2021 - - - - - - -
104105-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

De 1793 à 1836, la population indiquée ne reflète que celle d'Aurions, encore séparé d’Idernes, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[47].

Évolution de la population
1793 1800 1806 1821 1831 1836
107102122107114119
(Sources : Cassini)

Économie[modifier | modifier le code]

La commune fait partie des zones d'appellation d'origine contrôlée (AOC) du madiran, du pacherenc-du-vic-bilh et du béarn.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Des ensembles fortifiés aux lieux-dits Barsious[26] et le Tétour[27] d'Aurions témoignent de l'histoire médiévale du village.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre[48], dont une partie est classée par les monuments historiques[49], à Aurions, date partiellement du XIIe siècle. Elle recèle du mobilier (chaire à prêcher[50], retable[51], tabernacle[52], autel et gradins[53],[54] et ensemble du maître-autel[55],[56]), une lithographie[57], un tableau[58] et des objets (nappes de clôture de chœur[59] et chandeliers d'autel[60]) inscrits à l'Inventaire général du patrimoine culturel.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Aurions-Idernes » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune d'Aurions-Idernes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Aurions-Idernes et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Aurions-Idernes et Serres-Castet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Aurions-Idernes », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t et u Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  7. « Fiche communale d'Aurions-Idernes », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le Larcis ».
  9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Orthodromie entre Aurions-Idernes et Mont-Disse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Mont-Disse » (commune de Mont-Disse) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Aurions-Idernes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aurions-Idernes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des espaces protégés sur la commune d'Aurions-Idernes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. a b c d e f g h i j k l m n o p q et r Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
  26. a et b « L'ensemble fortifié du lieu-dit Barsious », notice no IA00026453, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. a et b « L'ensemble fortifié du lieu-dit Le Tétour », notice no IA00026452, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Aurions-Idernes », sur Géorisques (consulté le ).
  29. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  30. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  31. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  32. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  33. Extrait des registres de Bordeaux, publiés dans l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
  34. a et b Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
  35. a b c et d Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
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  37. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
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  40. Manuscrits des XVe et XVIe siècles - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  41. Manuscrit du XVIIIe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  42. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  43. Gentilé sur habitants.fr
  44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Idernes », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  48. « L'église Saint-Pierre », notice no IA00026451, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  49. « L'église Saint-Pierre - Partie classée », notice no PA00084326, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. « La chaire de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002139, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  51. « Le retable de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002135, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  52. « Le tabernacle de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002134, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  53. « L'autel et les gradins de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002138, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  54. « Les gradins d'autel de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002133, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  55. « L'ensemble du maître-autel de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002132, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  56. « Le maîter-autel de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002131, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  57. « La lithographie de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002141, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  58. « Le tableau de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002136, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  59. « Les nappes de clôture de chœur de l'église Saint-Pierre », notice no IM64002140, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  60. « Les chandeliers de l'église Saint-Pierre », notice no M64002137, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.